CG : nf
CT : Il existe plusieurs alternatives pour les grandes éoliennes : une tour autoportante, tubulaire et d’acier, une tour en treillis ou bien une tour massive en béton. Les mâts tubulaires haubanés sont seulement utilisés pour les petites éoliennes (chargeurs de piles, etc.).
S : http://www.motiva.fi/myllarin_tuulivoima/windpower%20web/fr/tour/wtrb/tower.htm (consulté le 2.10.2014).
N : 1. Du latin turris, « tour », « ouvrage de siège, souvent monté sur roues », « tour portée par un éléphant » et « maison élevée; pigeonnier ».
Construction nettement plus haute que large servant à accomplir différentes opérations techniques ou servant de relai.
2. Partie de l’éolienne qui supporte le rotor et la nacelle.
3. (La tour) permet non seulement d’éviter que les pales ne touchent le sol, mais aussi de placer le rotor à une hauteur suffisante pour optimiser la captation d’énergie cinétique. Au Québec, les tours des éoliennes sont des tours tubulaires en acier.
4. Tour. Son rôle est d’une part de supporter l’ensemble rotor + nacelle, mais aussi de le placer à une hauteur suffisante, de manière à sortir autant que possible le rotor du gradient de vent qui existe à proximité du sol, améliorant ainsi la captation de l’énergie. Certains constructeurs proposent ainsi différentes hauteurs de tour pour un même ensemble rotor + nacelle de manière à s’adapter au mieux à différents sites d’implantation. Trois grands types de tour peuvent se rencontrer : Mât haubané (…) Tour en treillis (…) Tour tubulaire (…).
S : 1. CNRTL. 2 et 3. GDT. 4. TERMIUMPLUS.
SYN : 1. mât, pylône. 2. mât éolien, tour eólienne, mât. 3. pylône, support, pylône support d’aérogénérateur, pylône support.
S : 1. http://www.motiva.fi/myllarin_tuulivoima/windpower%20web/fr/tour/wtrb/tower.htm (consulté le 2.10.2014). 2. TERMIUMPLUS. 3. GDT.